Construire un mémoire technique : comment faire ?
Introduction : mettez toutes les chances de votre côté
Cette étape est, évidemment, la plus fastidieuse et chronophage, surtout si c’est la première fois que vous répondez à un appel d’offres. Voici quelques conseils :
Rédigez une introduction. Elle permettra de montrer que vous avez adapté l’offre aux besoins de l’acheteur public, que vous avez bien compris la problématique générale et les objectifs de l’acheteur. Le fait de faire apparaître, dès le début de votre mémoire technique, que vous avez bien cerné le contexte, donnera plus de « crédit » à la suite de votre document.
Gardez toujours en tête, pour construire un mémoire technique, que les personnes qui le liront ne font pas le même métier que vous, n’ont pas votre expertise sur le sujet ni vos compétences.
Votre mémoire technique doit pouvoir être compris par tous. Privilégiez pour cela les phrases courtes, et utilisez autant que possible les termes employés par l’acheteur dans son dossier. Si plusieurs mots sont possibles pour désigner la même chose, utilisez le même que lui. Ne cherchez pas à « épater », vous obtiendriez l’effet inverse : l’acheteur veut être sûr que vous répondez bien à sa demande.
De même, ne cherchez pas à tout prix à proposer des « plus ». L’acheteur pourra légitimement se dire qu’il ne veut payer que pour ce dont il a besoin. Ne négligez pas la forme, elle est importante, pensez à aérer votre mémoire technique, à titrer et à illustrer vos propos. Celui-ci doit être agréable à lire.
N’oubliez pas : le professionnel, c’est vous. N’attendez pas de l’acheteur qu’il déduise des choses que vous n’avez pas jugé utile de préciser juste parce qu’elles vous paraissaient évidentes. Le mémoire doit donner envie à vos lecteurs de travailler avec vous. C’est à votre mémoire technique que vous devrez certaines de vos notes.
Introduction : mettez toutes les chances de votre côté
Cette étape est, évidemment, la plus fastidieuse et chronophage, surtout si c’est la première fois que vous répondez à un appel d’offres. Voici quelques conseils :
Rédigez une introduction. Elle permettra de montrer que vous avez adapté l’offre aux besoins de l’acheteur public, que vous avez bien compris la problématique générale et les objectifs de l’acheteur. Le fait de faire apparaître, dès le début de votre mémoire technique, que vous avez bien cerné le contexte, donnera plus de « crédit » à la suite de votre document.
Gardez toujours en tête, pour construire un mémoire technique, que les personnes qui le liront ne font pas le même métier que vous, n’ont pas votre expertise sur le sujet ni vos compétences.
Votre mémoire technique doit pouvoir être compris par tous. Privilégiez pour cela les phrases courtes, et utilisez autant que possible les termes employés par l’acheteur dans son dossier. Si plusieurs mots sont possibles pour désigner la même chose, utilisez le même que lui. Ne cherchez pas à « épater », vous obtiendriez l’effet inverse : l’acheteur veut être sûr que vous répondez bien à sa demande.
De même, ne cherchez pas à tout prix à proposer des « plus ». L’acheteur pourra légitimement se dire qu’il ne veut payer que pour ce dont il a besoin. Ne négligez pas la forme, elle est importante, pensez à aérer votre mémoire technique, à titrer et à illustrer vos propos. Celui-ci doit être agréable à lire.
N’oubliez pas : le professionnel, c’est vous. N’attendez pas de l’acheteur qu’il déduise des choses que vous n’avez pas jugé utile de préciser juste parce qu’elles vous paraissaient évidentes. Le mémoire doit donner envie à vos lecteurs de travailler avec vous. C’est à votre mémoire technique que vous devrez certaines de vos notes.